Une question qu’on m’a posée : quelle est la ville la plus nommée dans vos romans ? La réponse a été immédiatement : Richwiller.
La personne s’en est étonnée. « Quoi, Richwiller et pas Mulhouse ? »
Ben non. Mulhouse est bien le lieu où je résidais mais quand j’étais jeune ! C’était aussi le commissariat où je faisais mes rapports mais je n’y étais pas souvent. J’ai toujours été un homme de terrain et mes pas me portaient où était le crime. Attention, je ne dis pas qu’à Mulhouse le crime n’existe pas ! Mais c’était une autre équipe qui s’en occupait. Moi, je m’occupais plutôt du Sundgau.
Mais alors, pourquoi Richwiller ? Cette commune n’est pas dans le Sundgau actuel. Et en plus, ce n’est pas non plus une localité où le crime sévit à chaque coin de rue. Non, c’est parce que c’est proche de la forêt de Nonnenbruch. Forêt inquiétante où chaque pas mène à une intrigue, chaque bruit fait dresser le regard, où tout est possible. Alors, pourquoi s’en priver ?
Et ça a donné « L’autre face est morte… elle ! » et sa suite « Qui hait tue », « Le cas Nonnenbruch » et sa suite « Ballade à Sylvie », « Tirer les rois » ou « La bête de Nonnenbruch ». Mais bien sûr, mes fidèles lieutenants Patrick et Vittorio, ont « expliqué » d’autres localités dont la vôtre ou proches de chez vous.
Alors, à bientôt. Repos !
Bonne lecture
Voici mes amis en écriture : Atelier d’écritures ; avidoxe ; cap. Margenspat ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman ; V.DiMarco et VittorioDenim.