La plus difficile de toutes les énigmes qu’il m’ait été donné d’avoir à résoudre est celle qui (qui avait le plus de verbes qui se suivaient : 5+1) était, en définitive, la plus simple. Il suffisait d’attendre et de constater.
On m’avait dit : « Untel est mourant et il est très riche. De plus, il n’a qu’un seul héritier. Mais, arrivera-t-il à temps ? »
Je compris que c’était une question de durée. Je supposai que s’il arrivait trop tard, ce serait dommageable pour lui. Mais on ne m’avait pas demandé de surveiller ni M. Untel, ni le légataire ; soit l’héritier. Donc, je laissai courir.
Plus tard, quand j’entendis à nouveau parler de M. Untel, ce fut en ces termes : « Feu Untel ». On dit feu quand quelqu’un est mort. Je compris que M. Untel était passé de vie à trépas. Il était évident que ça chauffait pour l’héritier. Il devait se manifester rapidement : « Le legs sur le feu n’attend pas » !
Cette fois-là, il n’y a
pas eu de crime donc pas d’enquête. Il vous faudra patienter encore un peu. 😉
Ceci-dit, pour pourrez me trouver au Super U de Pfastatt ce vendredi 19 après-midi et samedi 20 en dédicace.
En attendant, prenez soin de vous.
Voici mes amis en écriture : Atelier d’écritures, Avidoxe, Eric Valloni, EcrirePastel, Ant Askman, pf-vd tandem littéraire, Patrick Frickert, dinadedan ; cap. Margenspat ; V.DiMarco et VittorioDenim
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