Le 25 c’était Noël et les Rois Mages ont eu des problèmes avec leurs chameaux ; ils ont raté le coche. Mais nous le savons, ils arriveront avec 12 jours de retard ! Ils ont dû attendre la correspondance et les transports étaient en grève !
C’est de leur faute ; ils sont rois et
ils se sont affiliés à un syndicat ; quelle idée ! Ils sont mages et
ils n’ont pas su prévoir leur avenir ! Étonnant, non ? A mon avis,
ils l’ont fait exprès : « Laissons d’abord aller le petit peuple.
Nous sommes rois ; nous arrivons avec l’exactitude des rois ! » Ben voyons !
Il y a de quoi en être fâché ! Et voilà d’où est venue l’expression « tirer les rois ! » chez le petit peuple. Pour s’en rappeler, ils ont fait une galette, y ont ajouté une fève à l’intérieur et le roi est celui que la fève choisit. Oui, parce que si les rois étaient mages et donc devins, le petit peuple, lui, ne devine rien et ne choisit pas.
C’est comme les Russes et leur roulette,
comme ils n’ont pas de galette, ils prennent un pistolet à barillet, ils y
mettent une seule balle (rationnement oblige) et la balle choisit le roi des
cons des Russes !
En bref ! Les Rois Mages sont arrivés en retard. Mais ils sont arrivés… et eux, avec des cadeaux utiles et écolos. Du coup on leur pardonne. Ce n’est pas pareil pour les Russes ; du coup (de feu) ça ne pardonne pas !
Quant à notre histoire, Tirer les Rois (polar n°7/11), elle se passe entre Lutterbach, Richwiller et Brunstatt. (Le triangle de Nonnenbruch ! 😬) Je suis présent pour mener l’enquête et démêler l’intrigue… avec vous.
A suivre…
En attendant, prenez soin de vous. Repos !
Voici mes amis en écriture : Atelier d’écritures, avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dina-de-dan ; Ecrire-Pastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim